publié le 28.1.2019

Quelques heures de printemps

À 48 ans, Alain Evrard est obligé de retourner habiter chez sa mère. Cohabitation forcée qui fait ressurgir toute la violence de leur relation passée. Alain découvre alors que sa mère est condamnée par la maladie. Dans ces derniers mois de vie, seront-ils enfin capables de faire un pas l’un vers l’autre ? « Beau et terrible. On ressort le coeur lourd et la lumière aux yeux. » Le Monde.