Il y a deux périodes dans la vie où la sieste est à la fois indispensable et bienfaisante : la petite enfance et la vieillesse. Qu’entre ces deux âges de la vie, il y ait des liens mystérieux, c’est une idée vieille comme le monde ; et il y a quelque chose d’émouvant à se dire que le vieillard et le petit enfant qui font la sieste se rejoignent peut-être pour un instant au pays des songes… La sieste n’a rien à voir, comme on l’entend ici et là, avec la paresse ; elle se présente au contraire comme l’occasion de prendre un deuxième départ dans la journée, de s’accorder une seconde chance de faire le plein d’énergie et d’entrain.
Lire cet articlePropos d’une gérontopsychologue
Des propos sur la vieillesse et sur la maladie d'Alzheimer
Lire et vieillir
Nous vivons une drôle d’époque, dans laquelle on nous propose sans cesse de nouvelles méthodes pour bien vivre, bien vieillir, rester en forme à tout âge, etc. Ce sont des livres, des cours, des stages, des recettes, des régimes, des vidéos sur YouTube ou sur DVD, tous plus ou moins coûteux. Tout cela alors que, à portée de main, quelques bonnes vieilles habitudes se révèlent bien plus efficaces pour aborder et traverser l’avancée en âge avec sérénité. Aujourd’hui, j’aimerais m’arrêter sur une activité à la portée de chacun : la lecture.
Lire cet article10 règles de santé pour senior
Les premiers jours d’une nouvelle année sont souvent l’occasion de prendre de bonnes résolutions pour les mois à venir. Je vous propose aujourd’hui de découvrir les « dix règles de santé pour senior » que le Dr Hans Hoppeler édictait, voilà exactement un siècle, et qui, si vous les adoptiez, seraient susceptibles de vous assurer un vieillissement harmonieux et en bonne santé. Comme vous le verrez, leur mise en oeuvre est facile, à la portée de tous, mais aussi elle vous apportera une vision de la vieillesse à la fois bienveillante et enthousiaste.
Lire cet articleVieillesse et mobilité
La mobilité est l’un des éléments constitutifs d’une vie active et autonome. Aussi longtemps que nous sommes capables de nous déplacer par nos propres moyens, que nous pouvons marcher jusqu’au magasin du coin, prendre la voiture pour rendre visite à nos enfants, monter sur notre vélo pour une balade à la campagne, nous sentons que nous gardons la maîtrise de notre vie et que nous appartenons pleinement à la communauté humaine. Cette capacité à se mouvoir vient-elle à diminuer, ou, pire encore, à nous être enlevée, et voilà que nous nous sentons amputés de tout un pan de notre liberté, que nous entrons dans la catégorie des handicapés, des infirmes ; nous voilà privés d’une part importante de notre vie.
Lire cet articleLa maladie d’Alzheimer comme source d’inspiration
C’est l’histoire de mon amie Chantal qui, après avoir admirablement accompagnée sa maman dans la maladie d’Alzheimer, s’est découvert une nouvelle orientation professionnelle : l’envie d’aider les seniors à rester autonome grâce à un entraînement sportif et cognitif. Son histoire nous montre aussi comment l’épreuve que constitue l’accompagnement d’un malade Alzheimer, avec tout le chagrin que cela comporte, peut néanmoins déboucher sur un avenir prometteur et ouvrir de nouveaux horizons.
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