Cela fait maintenant bientôt cinq ans que l’idée m’est venue de réaliser un site Internet : avant-age.ch, sur lequel je parlerais de ma vision de l’avancée en âge. Aujourd’hui, j’y ai publié soixante-cinq Propos, quarante-trois Questionnaires et une centaine de documents divers regroupés sous la rubrique Perles. Il y a quelque temps, Michel Moret, l’éditeur des romans […]
Lire cet articlePropos d’une gérontopsychologue
Des propos sur la vieillesse et sur la maladie d'Alzheimer
Tout ouïe ou dur d’oreille ?
La presbyacousie (du grec presbus, vieux, et akousis, l’ouïe) est le nom savant de la baisse d’audition due au vieillissement normal. Il s’agit d’une dégradation naturelle de l’oreille interne : les cellules ciliées de l’oreille – celles qui se courbent sous l’effet d’un son et génèrent un signal électrique qui est envoyé au cerveau – meurent petit à petit, avec l’âge. Et lorsqu’une cellule sensorielle est détruite, c’est pour toujours ; elle ne repousse pas. En avançant en âge, tout le monde – mais chacun à son rythme – devient peu à peu presbyacousique, expression savante et chic pour dire « malentendant », ou encore, avant notre époque du politiquement correct, tout simplement « dur d’oreille ».
Lire cet articleLe parfum de la vieille dame
Le vieillissement, processus biologique complexe, met en jeu un ensemble de phénomènes qui affectent et affaiblissent notre organisme ; l’altération de nos sens en fait partie : la vue, l’ouïe, le goût et l’odorat sont progressivement mis en déroute. Si la baisse de la vue et de l’ouïe est très vite constatée et compensée (opération de la cataracte, port des lunettes et d’un appareil acoustique), la médecine reste peu efficace face à la dégradation de l’odorat et du goût.
Lire cet articleLes 3 manières de vieillir
Il n’y a pas qu’une seule manière de vieillir ; en effet, pour chacun d’entre nous, les trois ou quatre décennies qui nous attendent au seuil de la soixantaine peuvent se dérouler de différentes façons, en fonction de notre état de santé, de notre mode de vie, de notre histoire, de notre philosophie de la vie, et de bien d’autres facteurs divers et multiples. Pour y voir un peu plus clair, les gérontologues, dans de nombreuses études récentes, sont parvenus, un peu schématiquement il est vrai, à regrouper cette population en trois catégories : les robustes, les fragiles et les dépendants.
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